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2010

996 pages

19,95′

Coffret 3 tomes: La petite maison dans la prairie

Laura Ingalls raconte ici sa jeunesse dans l’ouest américain, à la fin du XIXème siècle. Dans le tome un La petite maison dans la prairie, Charles et Caroline Ingalls, leurs filles Marie, Laura et Carrie, qui vivaient dans les régions boisées du Wisconsin, entreprennent un grand voyage en chariot bâché en direction de l’Ouest. Ils traversent le Mississipi sur la glace, puis un grands nombre de rivières sur de longs ponts de bois et enfin le Missouri sur un radeau. Ils s’installent alors comme colons blancs, cinq kilomètres à l’intérieur du Territoire indien, construisant leur maison, l’écurie attenante, le puits, défrichant la terre pour la cultiver. Mais bientôt ils apprennent que le gouvernement a décidé de créer une réserve pour les indiens et qu’ils doivent donc partir’

Dans le tome deux Au bord du ruisseau nous retrouvons la famille Ingalls. Elle a quitté la petite maison de rondins située dans une prairie en territoire indien, traversé le Kansas, le Missouri, l’Iowa, et une bonne partie du Minnesota, pour reconstruire sa vie dans une contrée plane au sol fertile, au bord d’un ruisseau, non loin du village de Walnut Grove. C’est là que naît la plus jeune soeur de Laura, Grâce; là aussi que son aînée, Marie, va perdre la vue.

Dans le tome trois Sur les rives du lac, la famille Ingalls doit à nouveau faire ses bagages : les aléas de la nature n’ont pas permis de bonnes récoltes et Charles, le père de Laura, accepte d’être l’homme de confiance de leur oncle Hi, entrepreneur de chemins de fer, pour tenir son magasin et sa comptabilité, en attendant de pouvoir réaliser son rêve et de bâtir une ferme dans l’Ouest, sur des terres que le Gouvernement concède en échange de leur culture.

Un récit qui mêle aventure, courage, imagination, honnêteté, générosité, sens du service, délicatesse. Une famille aimante et sympathique, dont on se plaît à partager le quotidien, entre un papa dont « le rire évoque tout un carillon de cloches sonnant à la volée », et une maman au « sourire si doux que Laura s’en sentait réchauffée de la tête au pieds ».
Un classique, très populaire aux Etats-Unis depuis sa publication en 1935 et qui n’a rien perdu de son charme. Adapté à la télévision américaine et diffusé à plusieurs reprises en France, il a sa place dans toutes les maisons de familles !