Oksa a treize ans, des parents adorables, Pavel et Marie Pollock, une grand-mère haute en couleurs, Dragomira, dite « Baba Pollock » et un grand ami d’enfance, Gus Bellanger. Sur ce qui ressemble fort à un coup de tête, les Pollock viennent de quitter Paris pour Londres dans l’intention d’ouvrir leur propre restaurant.
Par chance, la famille Bellanger s’installe aussi dans la capitale britannique. Admis au collège français St Proximus, Oksa et Gus effectuent ensemble leur rentrée en 4è « Hydrogène ». Sommée par le glacial professeur Mc Graw de se présenter devant ses camarades, Oksa s’effondre, terrassée par une violente douleur à l’estomac. A la fin d’une journée de rentrée abominable, la jeune fille découvre avec un émerveillement teinté d’effroi qu’elle possède de mystérieux pouvoirs, au sein d’une famille non moins puissante, exilée et traquée depuis qu’elle a fui le monde invisible d’Edéfia.
Pour Dragomira, Pavel et leurs amis, Oksa est « l’inespérée » qui leur permettra peut-être de retrouver leur monde disparu.
Ce roman fantastique serait-il seulement une énième version d’aventures « à la Harry Potter » ? On serait tenté de le croire dans cette description d’une jeune fille et de sa famille dissimulant leur origine et leurs pouvoirs au sein de notre société ordinaire, entourés de créatures extraordinaires, et traqués par des traîtres ayant mis leurs talents au service du mal. C’est sans compter sur le talent des deux auteurs d’aventures au départ autoéditées et dont le bouche à oreille a révélé de nombreux lecteurs enthousiastes. Indiscutablement, l’héroïne apparaît de plus en plus attachante à chaque page, le monde imaginaire ne lasse pas, le suspense se maintient, bref la « Pollockmania » saisit le lecteur jusqu’à la 486ème et dernière page du premier tome !
