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VALEUR SÛRE

septembre 2018 (existe dans d’autres éditions)

60 pages

14,50 euros

❤️ L’homme qui plantait des arbres

Comme est fructueuse et porteuse de sens la rencontre fictive entre Jean Giono, alors jeune homme au seuil de la guerre de 14 et Elzéard Bouffier, un berger amoureux de la nature qui s’est donné pour mission de planter un arbre par jour dans son vallon provençal. Merveille de la création, travail humble de l’homme à son service… Des années plus tard, la terre fait rejaillir les sources et redonne l’hospitalité à toute une vie mystérieuse. Et pendant tout ce temps-là, la guerre a fait rage et rempli son office destructeur.

Cette merveilleuse parabole illustre la promesse de la vie renaissant dans un monde défiguré et désolé par deux guerres mondiales. Elle mérite d’être partagée entre générations et se prête admirablement à une lecture à voix haute en famille ou en classe.

La sagesse et la poésie du texte admirable de Giono sont en symbiose totale avec les illustrations d’Olivier Desvaux qui cultive un grand talent pour suggérer la lumière et la vie.

Recommandé pour le cycle 3. A partir de 9-10 ans et pour toute la vie !

Existe en poche.

Biographie de l’auteur :

« Jean Giono est né le 30 mars 1895 à Manosque en Haute-Provence. Son père, italien d’origine, était cordonnier, sa mère, repasseuse. Après des études secondaires au collège de sa ville natale, il devient employé de banque jusqu’à la guerre de 1914, qu’il traverse comme simple soldat. En 1919, il retourne à la banque. En 1920, il épouse une amie d’enfance, Élise. Ils auront deux filles, Aline et Sylvie. Lorsqu’en 1930 la banque qui l’emploie ferme sa succursale de Manosque et lui offre une situation ailleurs, il choisit de rester dans sa ville, et de quitter tout à fait la banque pour la littérature. Il fut aussi historien et scénariste. Dans l’œuvre de Giono, la nature tient une grande place. Il a toujours aimé les arbres. Quand il était petit, il allait se promener en compagnie de son père. Tous deux emportaient dans leurs poches des glands qu’ils plantaient dans la terre à l’aide de leur canne, en espérant qu’ils deviendraient de superbes chênes. Jean Giono est mort le 9 octobre 1970. »