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juin 2020

448 pages

18 euros

La Ville sans vent

Arka n’a que 13 ans mais une détermination et un goût de l’aventure hors du commun. Juchée sur un affreux petit cheval, elle affronte le froid, la faim et domine sa peur tout en essayant d’oublier les terribles souvenirs de l’incendie et du massacre des Amazones qui l’ont élevée. Sait-elle que chaque pas la rapproche des meurtriers ?  Son objectif : retrouver son père, l’un des mages, qu’elle n’a pas connu et dont elle ignore l’identité.

Pour accéder à l’étage le plus élevé d’Hyperborée, la ville sans vent, en chevauchant des tortues volantes, le prix à payer repose sur l’audace et la combativité. Arka ne maîtrise peut-être pas la syntaxe et l’orthographe mais pour le reste, elle se fait vite remarquer !

Lastyanax, lui, a d’autres soucis et ambition. Le mage dont il est le disciple vient de mourir brutalement. Entrer à sa place au Conseil au service de la cité nécessite de maîtriser les pièges du pouvoir et d’en connaître les arcanes.

Ces deux-là vont-ils réussir à conjuguer leurs pouvoirs magiques en dépit de leurs différences ?

Aventures, surprises nées de l’imagination fertile de l’auteur et de sa connaissance des jeux de pouvoir, relations humaines complexes, permettent un vrai dépaysement aux lecteurs à partir de 14 ans.

Des lecteurs plus jeunes pourraient être découragés par quelques lenteurs.

Nous ne recommandons pas le second tome.